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InviteDesk SA souhaite lever 400 000 EUR via Bolero Crowdfunding

« D'une scale-up belge à un véritable moteur de croissance européen. »

« D'une scale-up belge à un véritable moteur de croissance européen. »

Imaginez : une scale-up technologique belge qui révolutionne la manière dont les entreprises organisent leurs événements. Plus de places vides, plus d’invitations inefficaces, mais un logiciel intelligent qui fait collaborer les équipes sales et de marketing, tout en rendant les retombées mesurables. Voilà InviteDesk SA.

InviteDesk lance aujourd’hui une campagne de crowdfunding via Bolero Crowdfunding. Grâce à l’obligation émise, l’entreprise souhaite accélérer sa croissance en Belgique et en Allemagne, renforcer son équipe commerciale et intégrer l’intelligence artificielle dans sa gamme de produits. Et vous pouvez investir dans cette aventure.

Il était une fois...

L’histoire d’InviteDesk commence en 2018, lorsque les fondateurs Jan Heiremans et Mark Van der Kinderen transforment leur frustration face à l’inefficacité des outils de marketing événementiel en une solution SaaS innovante. Ce qui a commencé comme un outil de gestion des invitations est devenu une suite puissante de produits : des inscriptions à l’intégration CRM, jusqu’au check-in sur site en passent le livestreaming. Des grands noms comme BNP Paribas Fortis, Porsche France et Belfius font déjà confiance à InviteDesk pour élever leurs événements au niveau supérieur.

Malgré les défis des années Covid, InviteDesk a continué à croître de 30 % par an. En 2023, l’entreprise a acquis Halito!, un acteur du secteur, et en 2024, elle a intégré LineUpr, une société allemande, à son groupe. Aujourd’hui, InviteDesk dispose d’une équipe complémentaire, d’une forte fidélité client et d’une nomination au Deloitte Fast 50.

Que reçoit l'investisseur ?

Cette campagne vous offre, en tant qu’investisseur, l’opportunité de contribuer à un projet de croissance ambitieux. Vous pouvez participer à l’avenir d’un acteur technologique belge qui mise sur la facilité d’utilisation, l’intégration et le support client dès 100 euros.

En échange de votre investissement dans cette obligation d’une durée de 30 mois, vous recevrez un intérêt brut de 9,35 % (6,55 % net). Gardez à l’esprit que l’investissement via le crowdfunding comporte des risques. 

Cette obligation est structurée avec un report de capital d'un an, tandis que le paiement des intérêts sera trimestriel. Après ces 12 premiers mois, les intérêts et le capital seront remboursés trimestriellement. L’investissement est possible à partir du jeudi 25 septembre 2025 à 10h00, avec un montant maximum de 2 500 euros.

Découvrez la campagne de crowdfunding d’InviteDesk SA

Comme pour tout investissement, des risques sont associés à cette opportunité. Nous vous recommandons donc de lire attentivement le document d’information essentiel avant de prendre une décision. Avec votre contribution, vous soutenez non seulement une entreprise florissante, mais vous investissez aussi dans le développement d’un acteur technologique belge qui repousse les frontières. InviteDesk rend le marketing événementiel plus intelligent, plus efficace et plus humain — et vous pouvez faire partie de cette aventure.

Construisons ensemble un avenir où la technologie aide les entreprises à créer de vraies connexions.

*Les intérêts bruts sont soumis à un précompte mobilier de 30 % pour une personne physique moyenne résidant en Belgique.

Investir dans des projets de crowdfunding comporte des risques, notamment celui de perdre tout ou partie de l'argent investi. L'investissement n'est pas couvert par les systèmes de garantie des dépôts établis conformément à la directive 2014/49/UE du Parlement européen et du Conseil. Il n'est pas non plus couvert par les systèmes d'indemnisation des investisseurs établis conformément à la directive 97/9/CE du Parlement européen et du Conseil. Investir par crowdfunding comporte des risques. En cas d’insolvabilité de l'entreprise (dans le cas d’une faillite par exemple), l’investisseur peut perdre tout ou partie de sa mise. Les obligations ne peuvent pas être vendues avant l'échéance finale.